Pasqua se retire

La conférence de presse

La campagne électorale en bref

  • Pasqua en campagne



Sa candidature

 


Communiqué sur la récession de l'économie française

 

 

 

 

Le parlement européen refuse la levée d'immunité de Charles Pasqua

28/02/2002

Au cours de son premier meeting à Paris, Charles Pasqua, en présence de l'ancien Maire de Paris Jean Tibéri, est entré en campagne.

Revenant sur la dissolution de 1997, Charles Pasqua a réaffirmé avec détermination son opposition à la cohabitation.

Pour vaincre l'insécurité, il propose un référendum sur le rétablissement de la peine de mort dans certains cas, et une prestation de serment pour l'accès à la citoyenneté française.

De son côté, Jean-Jacques Guillet, vice-président du RPF souligne que "Jacques Chirac a tourné le dos au gaullisme" en contribuant, avec Lionel Jospin à l'abaissement de l'autorité de l'Etat. 02/2002

« Il est urgent de rétablir l’Autorité de l’Etat »

Charles Pasqua s’est rendu dans le Vaucluse, vendredi 15 février. Après avoir tenu une conférence de presse à Avignon et s’être rendu à Sorgues pour y rencontrer les chefs d’entreprises, le candidat à l’élection présidentielle a présidé un dîner républicain.

« Je veux que les habitants de ce pays retrouvent leur fierté d’être Français ». C’est par ces mots que Charles Pasqua a commencé son discours de Sorgues devant 600 sympathisants. Le candidat gaulliste a rappelé qu’il ne cherchait rien pour lui-même et qu’il n’était « candidat contre personne ».
M. Pasqua a expliqué qu’il avait décidé de se lancer dans la compétition présidentielle car les idées pour lesquelles il s’est tant battu « ne sont plus défendues par le RPR », un mouvement qu’il a contribué à créer. « Le changement d’opinion de nos dirigeants est leur droit le plus strict mais ils ont tourné le dos aux principes qui nous avaient poussés à les élire ».

Le Parlement européen, suivant l’avis de la Commission juridique, a voté aujourd'hui le refus de levée de l'immunité de Charles PASQUA et Jean-Charles Marchiani, réclamée par des juges d'instruction français.

Rappelons que les membres de la Commission avaient estimé que les demandes émanant des autorités judiciaires étaient “ trop imprécises ” et “ pouvaient laisser soupçonner que des motivations d'ordre politique étaient à l'origine de leur démarche ”.

 

Point de presse du 18 mars 2002