O.
F.M.8
21/06/2002


Le bloc note 
d'
Objectif-France Magazine

  • Le Pen : les illusions perdues …

 

 

 

 

 

 

  • Quinze députés pour un groupe …

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • La baisse de la TVA à 5,5% dans la restauration.

 

 

 

 

 

 

  • L’UNEDIC, … et les syndicats.

Alors que le bilan de l'extrême droite, après l'avatar du 21 avril, annonce pour les 5 ans à venir une déliquescence du FN identique à celle que l'on peut imaginer pour le PCF, J.M. Le Pen joue une nouvelle fois les provocateurs. Mais, contrairement à ce qu'il affirme - lui l'anti-gaulliste primaire -, un courant gaulliste est en formation au sein de l'U.M.P., ce qu'Objectif-France accueille avec beaucoup de sympathie.

7 députés et 3 sénateurs issus du club de réflexion "Debout la République" sont à l'origine de cette initiative.

 

 

Plus les partis politiques amis du PS perdent des élus, moins il faudrait de députés pour former un groupe parlementaire à l'Assemblée Nationale. Telle est la nouvelle devise commune aux ex-partenaires de la gauche plurielle.

Il y a quelques années, afin d'éviter une première fois la disparition du groupe communiste, le plancher avait été ramené de 30 à 20 élus. Aujourd'hui, afin d'assurer les 5 années à venir, il faudrait faire un nouvel effort !

Si les électeurs n'ont pas voulu plus de députés PC, ou PRG, ou Verts, il convient en premier lieu de respecter leur choix. Et que les battus arrêtent de mettre en avant les règles et règlements... ces derniers étaient connus bien avant les élections !

Non aux magouilles de circonstance !

 

 

Chirac tiendra-t-il ses promesses ?

Il en va de l’autorité du chef de l’État français. Pour y parvenir, la France doit batailler dure face au commissaire européen Frits BOLKESTEIN qui annonce que la demande française sera examinée au Conseil et au Parlement européen … au 1er semestre 2003. Il précise toutefois que « baisser la TVA dès 2003 est intenable ». Si la France passe outre, « une procédure d’infraction sera ouverte ».

 

Pour faire face à un besoin conjoncturel de financement de l’assurance-chômage, les partenaires sociaux prennent leurs responsabilités. Enfin, presque tous, puisque du côté des salariés, les trois syndicats modérés (CFDT, CFTCet CGC) ont franchi le pas. Sur le côté reste FO (qui a d’autres chats à fouetter) et la CGT qui, sans aucun doute, s’apprête à des actions pour la rentrée.