Communiqué du 28 août 2006

 

Libres propos :   SEGO, SARKO, YO-YO, NOUS MENENT EN BATEAU

 

François Morvan, président de "Vive la République"

 

Pour l'oligarchie politico-médiatique, le premier tour de la présidentielle a déjà eu lieu : ce sera Ségolène Royal contre Nicolas Sarkozy.

La maladie d'Alzheimer faisant rage en son sein, elle a évidemment depuis longtemps oublié que tout ses pronostics des dernières années ont été déjoués, à commencer ceux qu'on nous a assénés des mois entiers avant avril 2002 ou avant le NON à la "Constitution" européenne.

L'opérette en cours au Parti Socialiste pourrait déjà apporter un premier couac, tant il semble possible que le tour de piste de Ségolène Royal ne serve en définitive qu'a y créer un chaos propice au retour du vrai-faux retiré de la vie politique.

Toutes les vedettes du show, grandes battues du référendum de 2005, ne jurent plus que par le retour à l'autorité de l'Etat et à sa réforme anti-bureaucratique, la liquidation du chômage, la restauration des valeurs républicaines, la refonte du système éducatif, une vraie politique d'immigration choisie, contrôlée, maîtrisée (rayer la mention inutile), une politique de développement durable.

Il ne reste qu'une question : comment feront-ils ? Comment feront-ils en restant acquis à une Union Européenne arc-boutée sur son libéralisme intégriste et sur son fédéralisme bureaucratique ? Comment feront-ils en continuant le démantèlement de la puissance publique par sa privatisation tout azimut ? Comment feront-ils en restant ancrés dans l'idéologie mondialiste qui considère les nations comme ringardes ? Comment feront-ils en acceptant la communautarisation de la société ?

A cette question nous savons comment ils répondront, comme par le passé: en biaisant et en mentant.

Le peuple le sait déjà. Si nous ne voulons pas qu'une fois encore, sa seule voix d'expression soit le vote pour la démagogie fasciste ou le refuge dans l'abstention, c'est à nous de faire entendre l'alternative républicaine et moderne qui peut et doit s'exprimer derrière la candidature de Nicolas DUPONT-AIGNAN, la seule qui propose aujourd'hui de rassembler les républicains.