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"S’il est une nécessité, c’est bien celle de reconstituer le grand mouvement Gaulliste."

  

Mesdames et Messieurs

 

Avec le septennat, par la volonté du Peuple français et sous la dictée du Général de Gaulle, le Président de la République était devenu : L’homme de la Nation toute entière.

Il ne devait plus être question de l’homme d’un clan, d’un camp ou d’un parti à la tête de la République,  plus de conservateur  souvent crispé, puis résigné, tendant à faire croire que rien d’autre n’est possible, plus de progressiste utopique, bourré de démagogie laissant croire que tout est possible, mais plus tard.

Non, les Français appelaient de leurs vœux, un pilote, capable de rassembler, comme le fit le Général de Gaulle, au -delà des clivages traditionnels, la France toute entière.

Un pilote qui au- delà des raisonnements essentiellement de gauche ou essentiellement de droite, possédait avant tout, des raisonnements d’homme.

Cela fut le cas avec le Général de Gaulle, des femmes et des hommes de gauche de droite et d’ailleurs se mirent au service de la France.

Platon, l’homme de la République, fait dire à Socrate qu’un tel Pilote, n’aura pas en vue et ne prescrira pas son propre avantage ou celui de son camp, mais celui du Matelot.

Associons la pensée de Platon à celle du Général de Gaulle, et nous comprenons « qu’il faut faire participer le Matelot au Gouvernement » par la vraie participation, pas uniquement l’intéressement.

C’est une leçon pour les défenseurs de la République et pour les démocrates que nous sommes :

Ces guides démontrent que la politique est un art, une science, et qu’elle exige de vrais hommes politiques capables de gouverner le pays au lieu de le gérer selon les intérêts de quelques grands groupes internationaux ou d’idéologies mondialistes.

Ne plus accepter l’incompétence et l’oligarchie, ne plus accepter les luttes fratricides qui détournent les Français de la politique, qui soustraient les meilleurs des gouvernements, mais au contraire, les faire participer pour qu’ils se mettent au service de la République.

Ne nous voilons pas la face, c’est de la justice des meilleurs, dont la France a besoin dans ce monde incertain ou, par mondialisme ou Europe fédérale interposés, des ONG bien dirigées, tentent de diluer les nations, d’asservir les Etats et de transformer le citoyen en HOMO-ECONOMICUS.

Arrivés à un moment crucial de notre histoire, nous ne pouvons plus tergiverser, tenter de déterminer le sexe des anges ou tâter le cul des vaches. Nous devons impérativement nous débarrasser des tutelles qui nous oppriment, qu’elles proviennent de Bruxelles, de Washington ou de Pékin maintenant et laisser à nouveau s’exprimer le génie de la France.

Les politiques menées depuis 30 ans ne laissent   que deux choix aux Français, être suicidaires ou être solidaires.

Or les Gaullistes que nous sommes n’ont pas vocation à plaider pour le suicide collectif ou pour l’asservissement.

Notre vocation est de déterminer un avenir pour la France, de rassembler, de réunir et de faire marcher ensemble, tous les Français.

Il faut à la France des Mendés, des hommes de génie, pour mettre un terme à l’impérialisme d’une monnaie qui dicte sa loi à toutes les autres monnaies en général et à l’économie en particulier.

Il faut des de Gaulle pour sortir l’Europe de l’impasse dans laquelle ses successeurs l’ont enfermée.

Nous ne pouvions plus rêver que d’une association entre deux mêmes géants pour faire front à la globalisation qui nous envahit, nous détruit et qui finira par une confrontation entre deux monstres qui s’installent sur une trajectoire de collision.

Heureusement tout n’est pas perdu, nous avons la chance de soutenir un candidat capable de réunir les Gaullistes, les Mendésistes, les Républicains des deux rives et tous les Français de bonne volonté.

Capable de faire cesser la musique du bal, celle des corrupteurs et des corrompus.

Capable de faire sortir des Limbes le dossier des retraites et de la protection sociale et de proposer la seule solution possible celle la TVA Sociale.

Capable d’empêcher les délocalisations afin de redonner aux Français la possibilité de créer eux- mêmes et de fabriquer ce dont ils ont besoin.

Capable, comme il vient d’en apporter la preuve,   de s’opposer à ses amis lorsqu’ils bradent nos grandes entreprises, simplement pour obéir à une directive européenne.

S’il est une nécessité, c’est bien celle de reconstituer le grand mouvement Gaulliste. Vous êtes, cher Nicolas Dupont-Aignan chargé de cette immense mission par les collaborateurs du Général qui vous ont adoubé pour le faire. Et nous, nous en sommes impatients pour la France

Vous avez marqué votre volonté, comme Général de Gaulle, de faire de la France un modèle et un guide quant à la condition des hommes.

Vous remettez sur le métier son œuvre sociale inachevée, en imposant, ce que les forces de l’égoïsme ont empêché de mettre en place, c’est à dire, et nous ne le répèterons jamais assez, la participation.

Contre le mondialisme, vous imposerez, et nous participerons le 18 de ce mois tous les deux à une émission radiophonique sur le sujet : la francophonie et vous proposez déjà de défendre bec et ongles notre langue.

Amis, des soutes du bateau France sortent de sinistres craquements et

Il s’agit aujourd’hui, comme au 18 juin 40, de la survie de la nation.

Le courage de Nicolas Dupont Aignan qui le porte à lutter souvent seul contre tous, nous a fait penser, mes amis et moi, qu’il est l’homme de la situation, qu’il a vocation à devenir l’homme de la nation, et nous avons jugé qu’il était de notre devoir de l’aider.